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Nom Complet : Ieoka Naratumoto Da Date de naissance : 07/03/92 Age : 20 ans Sexe : Masculin Profession : Surveillant

Description physique : Il y en a qui ont les cheveux bleus, d'autres qui les ont verts, d'autres qui les ont violets... Eh bien moi. Moi, Ieoka Da, j’ai les cheveux rouges. Des cheveux rouges, rouges vif. Un magnifique rouge vif de la couleur des roses rouges que l'on offre à la saint-valentin pour accompagner une boite de chocolats...Voilà la couleur de mes cheveux. Mes cheveux rouges qui font à merveille ressortirent ma peau de satin blanc. Mais si ce que l'on voit de moi de dos, se sont mes cheveux, quand je suis de face, on ne les voit presque plus. En fait, quand je suis de face, l’attention générale se trouve pour mes yeux. Il faut avouer pour la défense du monde entier qu’ils ne sont pas habituels, déjà ils sont verrons. Le droit est rouge et le gauche est jaune, l’un est d’un rouge sang profond, l’autre est d’un jaune légèrement ambré qui de la même profondeur que son compère semble parfois doré... Mais outre leurs couleurs, mes yeux attirent les autres pour une autre raison : ils sont grands encadrant un nez fin qui lui se trouve au-dessus d’une bouche aux lèvres délicates au-dessus d’un menton étroit. Oui, mes yeux sont grands, mon visage fin et anguleux, presque féminin… Autant vous dire qu’on ne voit qu’eux…
Sinon, outre cela, je suis grand, très grand. Pour vous donner un ordre d'idée je ne dois pas être loin du mètre 95... Oui, je est grand. Grand et aussi épais qu'une baguette de pain parisien... Ça ne fait pas grand-chose, je vous l'accorde... Mais si je ne suis pas bien gros, ma silhouette en reste tout de même assez athlétique et assez sportive... La raison ? Le basket.


Description psychologique : On peut dire ce que l'on veut de l’élégant personnage que je suis, on peut dire ce que l'on veut de moi. En général, il n'est pas facile de trouver la faille à critiquer chez moi, elle existe, je ne dis pas le contraire mais je fais tellement tout ce qui est en mon pouvoir pour paraître parfaitement parfait que je fini par le devenir (du moins c’est ce que l’on croit…). Toutefois derrière mes airs droits, dignes et nobles se cache un véritable gamin joueur que parfois j’accepte de laisser paraître pour consoler un enfant, jouer avec lui ou simplement détendre l’atmosphère. Mais chez chaque homme est logée une part plus sombre. La mienne, j’aimerais pouvoir la dire inexistante mais je la sais en moi, juste là, en boule au fond de ma poitrine pareil à un félin, un fauve prêt à bondir en dehors de sa cage dès que l’on le lui permettra. Ma part sombre, c’est ma jalousie, ma rancune, mon ambition… Depuis toujours je VEUX toujours plus si bien qu'un jour mon ambition me perdra... Oui, j’ai ce qu’il s’appelle la folie des grandeurs, je rêve de gouverner le monde est d’ailleurs, c’est pour ça que j’adorais le surnom que me donnaient mes grands-parents : Ieoka-Sama ; c’était moi qui décidais, c’était moi le chef pour eux. Malgré cela, je reste peu autoritaire, mais étant particulièrement charismatique, je joue sur ce point pour être obéie et je dois avouer que le résultat est plutôt satisfaisant.
D’accord, je vous l’accorde, je suis un brin narcissique… Bon d’accord, mon troisième prénom c’est Narcisse… Mais je ne serais pas capable de faire de mal à une mouche même si parfois j’en donne l’air...


Histoire : Il y a vingt ans naissait un petit garçon, il était beau comme un ange malgré ses cheveux rouge... Du moins avant qu'il n'ouvre les yeux, là, là il devint un monstre, une créature si bien que le couple qui lui avait donné la vie se sépara en le confiant à ses grands-parents maternels. Soi un vieil homme et une vieille femme fort agréables qui l'aimèrent dès qu'ils posèrent leurs yeux sur lui. Ieoka. Ieoka. C'est ainsi qu'ils appelleront leur petit fils. Oui, vous l’avez compris, ce petit garçon, eh bien… C’était moi.
Mais ce qu’ignoraient mes parents, c’était qu’en m’abandonnant entre les bras de ces gens adorables, ils me faisaient le plus beau cadeau que je pouvais alors espérer. En effet, je vais dans le foyer de mes tuteurs recevoir plus d'amour que de raison et une éducation quasi-parfaite. Pour eux, j’étais l'enfant rêvé, l’enfant prodige. Il faut les comprendre, ma mère avait mal tourné et il n’avait jamais pu avoir d’autre enfant… Même quand un jour je leur demandai si je pouvais jouer au basket, cela ne les dérangea pas, loin de là ! Ils me soutinrent dans ma passion... Par la suite, quand j’eus l’âge d’entrer à l’école, ils m’inscrivent dans une école privée. Ce monde n’était pas le mien, et pour que je puisse m’y intégrer, ils me payèrent tout ce que pu alors leur demander : du costard aux chaussures de marque. Ils cèdent au moindre de mes caprices.
Mais un jour, le mal surgit, et sans que je me laisser le temps de comprendre. Tout ne fut l’espace que d’une nuit, d’une poignée de minutes, de secondes… Je perdis tout... Tout se passa si vite... Nous rentrions tous les trois du restaurant, nous étions dans la voiture puis soudain, il y eut une lumière affreusement pâle, la seconde d'après, je me retrouvais orphelin. Vous avez déjà vu tous vos rêves s’écrouler ? Je ne pense pas… J’allais alors entrer dans l’équipe régionale de basket junior de la ville où nous vivions, je m’imaginais déjà sur les podiums, sur les panneaux publicitaires, dans les magazines, à la tête d’une équipe nationale même peut-être… Et non, une vielle femme vint me voir à l’hôpital pour me dire de son ton sans émotion aucune : « Tes grands-parents sont morts. Bon anniversaire Mr. Da. » Oui, superbe anniversaire que voilà ! En effet ! Mais bref, sur le moment, je peux vous garantir que je n’eus pas le cœur au moindre sarcasme, les larmes me montèrent aux yeux. Je venais de tout perdre et mon rêve de devenir un grand basketteur s’était éteint avec ceux qui m’avaient offert un toit ainsi que tout leur amour. Comme je connaissais chacun des noms de mes parents bien que je ne les ai jamais vu, on les contacta. Mon père avait une nouvelle vie, il fallait le comprendre, il était homme d'affaire à New-York et n'avait pas de temps à perdre en élevant un enfant gâté et puis ma mère... Ma mère était morte d'un cancer, je l'appris de la bouche de la même femme qui m’avait appris le décès de mes grands-parents et qui avait pour mission de me trouver une nouvelle famille. Pour moi, ça n’était qu’une vieille sorcière sans cœur qui cherchait à le placer coûte que coûte pour avoir son salaire à la fin du mois. Et elle finit par y parvenir. Mademoiselle Hideux puisque c'était son nom et à y réfléchir ce nom lui allait à ravir fini par me trouver nouveau un foyer, un orphelin pour être plus précis. On prit le train, on marcha un peu puis on arriva. Elle me laissa là et je dois avouer que je ne fus pas mécontent de me débarrasser de cette vieille harpie...
Mes années à l'orphelinat furent plutôt paisibles, je m'y consacra à sa passion : le basket et à parfaire mon éducation auprès des adultes autant que des autres orphelins. J’étais un gamin débrouillard et bien que cela surprenne sociable. Quatre ans passèrent ainsi avant que je n'atteigne l'âge de faire mon sac et là, alors que je me préparais à quitter ce qui était devenu ma nouvelle maison, une place de surveillant se libera. Je ne vous cacherais pas que je me jetai dessus. J’étais déjà de la maison et du coup, l’affaire fut rapidement signée et moi, rapidement engagé. Ainsi commença le règne d’Ieoka Da. Grâce à l'héritage que je reçu à cette même majorité qui avait bien faillit me faire mettre à la porte, j’aurais pu m'asseoir dans un fauteuil devant un paysage paranoïaque pour le reste de ma vie mais non, je pris la décision de rester et de justement bien cacher cette fortune qui était maintenant le mienne.
Cela fait maintenant deux ans que je suis surveillant. Je connais tout le monde et tout le monde me connait. J’ai conservé ma popularité de lycéen. Cette popularité dont je pouvais jouir et dont je profitai bien plus que raison durant ces quatre années que je passai dans les lieux entant qu'orphelin.

-> LA JOUEUSE <-

Prénom : Lily Autre compte : Chloé-Valentin C. Fréquence de connexion : Tous les jours ou presque Le code : Code O.K. par Miranda Avancement de la fiche : J'ai terminé ! Mots de la fin : Appelez moi Dieu

[Miranda]

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[Invité]

Pour ça me faut mon pc Miranda-Chan <3

T'es trop chou comme ça ^^

EDIT : J'aurais bientôt fini ! ^^ Il ne me reste que l'histoire à reprendre ^^

RE-EDIT : J'ai fini !

RE-RE-EDIT : 27 éditions xDD J'ai battu mon record je crois ! xD

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