[Alex Rider]

Je n'en revenais pas. A chaque fois que je faisais quelque chose quel qu'elle soit, il fallait toujours que cela me retombe dessus. * Elle n’aura qu'a ce débrouiller avec c'est mains,* Je ne le pensais pas vraiment, mais je me disais que ce n’était pas pour le mieux si je l'aurais suivie. Je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir non plus, car elle ne savait pas ce que j'avais. Je me sentais mal. Pas juste envers elle, mais de Angella aussi. J'étais venu à la plage pour penser à tout ca. Depuis mon enfance, il n'y avait pas vraiment de mon ici à ce temps ci de l'année. Il y avait un petit vent frisquet près de l'eau, j’allai donc m’assoir près d'un arbre au cas où il y tomberait quelque goute de pluies. C'était dans c'est moment la que je souhaitais le plus revenir a la guerre. Là-bas il n'y avait de conflit de ce genre, les femmes ressemblaient à des mecs et c'était t'en mieux comme ca. A chaque fois qu'on allait dans une ville pour prendre une ou deux jours de congé, avec les femmes c'était parfait. On passait une nuit et on ne la reverrait plus jamais. Pourquoi fallait-il que cela tombe sur moi.

(HRP je sais que le titre n'est pas terrible, mais quand ca fait plus d'un que vous en créer lol )

[Invité]

Au parc, c'est toujours le meilleur endroit où trouver des insectes. C'est un grand espace vert. Je marcha seul dans le village en me dirigeant vers la place. Je suis arrivé très vite au parc. Il faut dire que c'est pas très loin. Je me promène avec mon pot dans les mains. Un pot tout blanc avant un couvercle troué. Est-ce que les bibittes, ça respire? Je ne sais pas alors je ne prends pas de chance. Je marche un peu partout et j'ai de la chance qu'il ait un peu mouillé cette nuit, c'est encore humide alors les verres sont presque tous sortie de la terre. En tout cas, j'en trouve beaucoup. À chaque fois que j'en vois un, je le prends et le mets dans le pot. J'en ai déjà une peu moins de quinze dans mon pot quand j'aperçois quelqu'un assis sous un arbre. J'hausse les épaules et continue ma recherche. Pourquoi j'irais lui parler? Je ne le connais pas. Mais il me dit quelque chose. C'est vrai que dans une petite ville, on connait tout le monde. Je m'approche de lui, mon pot dans les mains et le regarde de haut, puisque je suis toujours debout. Je n'ai pas grand expression sur mon visage. De mon pieds, je frappe deux petits coup sur son soulier comme pour lui dire: «Regarde, je suis là. Et toi, qu'est-ce que tu fais là?» Je ne sais pas s'il va comprendre, mais je continue de le regarder avec un regard lasse.

[Alex Rider]

Toujours dans mes pensé, de petit coup su ma semelle m'y sortie. Levant la tête, je vu un jeune garçon avec un pot blanc dans ses mains. Par réflexe, je me leva et secoua mon pantalon. Un petit réflexe de l'armé, il fallait croire et aussitôt je le maudis. Je regarda le petit garçon et lui dit d'une voix quelque peu saccader:

-Tu n'est pas sensé aller a l'école.

Je savais que quand j'étais jeune, je détestais me faire poser la question, ma réponse, était toujours la même: << Il faut croire que non si je suis la.>> J'échappa un petit rire. Regardant dans son pot, je vis qu'il y avait des vers. Je ne voulais pas me pauser la question de ce qu'il allait en faire.

[Invité]

J'oubliais presque c'était un adulte. Encore cette stupide question. Pourquoi est-ce que tout le monde doit poser cette question? Je soupire en le regardant. Je me pencha pour ramasser un verre de terre qui tourne sur lui-même. Je le met dans le pot et referme le couvercle. Après, je regarde de nouveau l'autre garçon et je lui répond:

- Oui, mais je n'y suis pas. Tu veux savoir autre chose?

j'avais dit ça sur un ton un peu sarcastique. Maintenant que j'avais tout les verres de terres que j'avais besoin, il fallait juste que je retourne à l'orphelinat. Juste avant le souper. J'irai dans les cuisines et mettrait les verres de terres dans la salade, sans me faire voir bien sur. En attendant, je remplie le pot de terre juste au cas pour pas que les verres meurt. Je souris. J'ai hâte de voir leur face.

[Alex Rider]

Je me sentais ridicule a présent. J'étais a penne un adulte. Enfaîte c'était ma première année en temps que tel et je m'était juré de ne pas faire ce que je détestait des adultes. J'étais mal barré. Je fit surpris de voir que le jeune me remis sur le droit chemin...

-En faite oui j'aimerais bien, dis-je sourire au lèvre. Dans la salade ou les spaghettis?

Moi aussi a cette age la, j'avais l'habitude de faire c'est genre de farce. Ce qui est bien avec ce genre de truc... C,est que l'on peu ce payer la tête de plus d'une personne et ne jamais ce faire prendre. Mon tour favoris, était le coup des quatre petits cochons. Le truc était simple. Dans la ferme voisine, on va prendre trois cochons. L'un porte le numéro 1, l'autre le deux et le dernier, le numéro 4. Il fallait que prendre les trois cochon et les laisser en liberté dans l'école. De cette manière, après avoir réussi d'attraper les trois cochon au milieu de l’après midi, il cherchait le quatrième, qui n'existe pas tout le reste de la journée. Je n’arrivais pas a croire, cette journée la comment les professeur et le principal pouvais pouvaient être aussi idiot.

[Invité]

Je le regarde pendant longtemps. Il a l'air de comprendre ce que je veux faire et s'il le dit au autres, c'est foutu. Je soupire sans arrêter de le regarder. Il me pose la question qui confirme ce que je pensais. Il sait ce que je veux faire. Je grimace un peu en me disant que je dois lui dire, sinon tout risque de tomber à l'eau.

- Dans la salade, alors je te conseille d'arriver en retard pour le souper.

J'ouvre le pot et lui montre les verres de terre qui fonce l'un dans l'autre. Ils sont gros et gluant. Je me demande s' il mangeront quand même les spaghettis après ça. Je me demande aussi si je vais me faire prendre. Ce serait pas drôle... Je referme le pot et regarde le garçon qui est toujours devant moi. *Je lui ai dit d'arriver en retard, mais je ne sais même pas s'il va à l'orphelinat. Il est un peu trop vieux pour être orphelin, non? En plus, je ne me souviens pas de l'avoir déjà vu comme surveillant...* J'arrête finalement de le fixer pour lui demander:

- Tu es à l'orphelinat, toi?

[Alex Rider]

Je m'accota sur un arbre derriere moi avec un sourire. Le jeune garcon contait vraiment mettre des verre de terre dans la salade du repas de ce soir. Je laissa échapper un petit rire quand il me conseilla d'arriver en retard. Cette petite réplique, me fit pensé a ce que j'avais a faire avant que j'en arrive a resté ainsi dans le parc. Sur ce que je me rappelais, je devais réparé le lavabot de la cuisine et aussi la laveuse. Bien que Kana et Sun avaient tout laver durent l'avant midi, je ne pouvais pas resté la bien longtemps. Les cuisiniers auront bientot besoin du lavabot pour préparé le souper, ou bien tout simplement faire la vesselle de ce matin. Je mit spontanément la main dans mon visage, comme pour me traité d'idiot. Quand j'avais été informé du dégas, j'avais fermé l'eau de la cuisine... Puis le jeune garcon revenant sur ca phrase, me demanda si j'étais justement a l'orphelinat. Je le regarda et lui dit:

-Oui et justement j'ais a faire dans la cuisine. Je pourrais te couvrir pour mettre tes verres dans la salade. Tu peu venir avec moi si ca te dit.

Puis je réfléchisa a ce que je venais de dire. Moi maintenant adulte, j'encourageais un gamin a faire des bétise, quand je savais que certaine concéquence pouvais etre tres pénible. De toute facon, me persuadais-je, le mal est déja dit. J'aurais laire de quoi revenir sur ma parole. C'est important de smusé parfois. Je me demande de quel maniere Sun risque de réagire... Je souria donc a cette pensé et regarda le jeune homme pour avoir sa réponse.

[Invité]

Je continue de le fixer pendant un moment. Il me dit qu'il pourrait m'aider et si je voulais venir avec lui. Apparemment, il a du travail dans la cuisine. Il est plutôt sympa, il faut dire. Mais je ne sais même pas s'il me dit la vérité. Peut-être qu'il va m'emmener voir Kana. Ça, ce serait mauvais... En même temps, c'est vrai que je n'aurais pas grand occasion pour entrer dans la cuisine. Généralement, les cuisiniers détestent qu'on leur traîne dans les pattes. J'hausse les épaules, me montrant désintéressant par sa proposition. Je regarde mon pot de vers de terre. Finalement, je relève le regard.

- D'accord, pourquoi pas. Ça pourrait aller mieux si je vais avec toi.

Je regarde autour pour voir que la plupart du monde rentre chez eux. C'est bientôt l'heure du souper alors c'est normal. Il faudrait aussi que je rentre pour avoir le temps de faire le coup. Sinon, tout sera gâcher. Je me retourne vers le garçon plus vieux et lui dit:

- Je retourne à l'orphelinat tout de suite. En plus, si je reste dehors plus longtemps, je risque de me faire gronder. Je n'ai pas vraiment dit où j'allais avant de sortir. Tu viens ou tu vas rester planter là?

Sans même avoir sa réponse, je me tourne et commence à marcher. L'orphelinat n'est pas trop loin du village, mais c'est quand même une bonne marche et je dois arriver à l'heure. Je marche assez vite et me tourne la tête un moment pour voir si l'autre me suit. Je continue ensuite à marcher pour bientôt arriver à l'orphelinat.

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