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-> CHLOÉ-VALENTINE <-

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Nom Complet : Chloé-Valentine Constance Surnoms : Chlo, Valou & Miss Date de naissance : 17 décembre 19** Age : bientôt 14 ans Sexe : Féminin Statut : Orpheline Mystérieuse - Secrète - Solitaire - Curieuse - Intelligente - Réfléchie - Violente - Méfiante - Froide - Affective - Sensible - Sadique - Rebelle - Lunatique

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Description physique :

Une chevelure de feu, un teint diaphane, deux yeux vifs et pétillants d'intelligence. Tout en Chloé-Valentine rappelle la plume tombait des ailes d'un ange passant au dessus de nos têtes. La même douceur d'apparence, cette même fragilité apparente... Comment ne pas voir en elle une jeune fille.
Depuis son arrivée à l'Orphelinat, elle a bien changé, elle n'a plus rien de la petite fille turbulente, elle a désormais une fine silhouette légèrement plus grande que les autres et commence même à avoir des formes féminines alors qu'elle entre réellement dans l'adolescence et dans la puberté. Ses cheveux qui sont d'un roux agréable à l'oeil lui arrive au milieu du dos relativement lisses et souvent désordonnés lui donnant un air de rebelle.

Elle a toujours sur elle un petit carnet que lui offre l'Orphelinat dès qu'elle le demande ainsi qu'un stylo et un crayon à papier. Carnet de croquis ? Roman d'enfant ? Journal intime ? Personne ne le sait et tous se garde bien de le lire, de les lire mêmes...

Description psychologique :

Chloé-Valentine n'a pas toujours connu l'Orphelinat, mais elle s'y ait créé son univers, elle aime pouvoir airer dans les couloirs, courir dans le parc, écrire devant le pôle secrétariat comme si elle attendait quelqu'un. Mais derrière ses grands airs de rêveuse, la rouquine cache une intelligence impressionnante et une curiosité sans borne.
Personne ne sait vraiment d'où elle vient, ce qu'elle sait et ce qu'elle ignore, ce qui est certain pour tout le monde c'est que sa vie avant son abandon fut loin d'être rose mais quoi qu'il en soit, un jour elle n'était pas là et le lendemain elle l'était.
Enfant turbulente petite, quasiment ingérable même, le psychologue et les éducateurs sont persuadés très rapidement qu'elle a vu et connu des choses que nul enfant ne devrait voir ou connaître. Elle est violente, toujours sur la défensive, froide et solitaire. Un jour un garçon voulu lui piquer le jouet qu'elle avait prit, elle le récupéra à coups de griffes et de dents comme on dit. Mais petite, ça n'était pas seulement sa violence et son caractère associable qui alarmaient, c'était aussi son manque visiblement cruel d'affection. En effet, malgré ses périodes de colère et de crises, s'était une petite fille toujours à la recherche d'affection auprès des adultes et elle se lia particulièrement à Daphné qui mourut malheureusement dans un accident de voiture : accident que vécu très mal la petite fille qui se retrouva sans bras pour la consoler ou du moins sans les bras rassurants de celle qui était devenue pour elle un peu sa maman à force d'effort et de douceur.
Aujourd'hui, il ne reste pas grand chose de la petite fille qui toisait toute personne qu'elle jugeait pour elle menaçante. Elle arbore toujours un air stoïque et un regard vide laissant penser qu'elle rêvasse à longueur de journée mais est toujours à l'écoute des autres et n'hésite que rarement à venir en aide aux surveillants quand il s'agit de maîtriser un petit nouveau. Après tout, elle est une des mieux placées pour savoir s'y prendre. Il n'y a qu'une chose que le temps n'a pas su modifier, c'est la méfiance qu'elle porte en les autres mais elle refuse toujours de dire ce qu'il s'est passé quand elle était petite...

Histoire :
On ne sait pas beaucoup de chose de cette demoiselle fortement déconcertante et mystérieuse. Bien qu'elle ait déjà passé dix ans à l'Orphelinat, on ignore toujours d'où elle vient et qu'elle fut son histoire avant qu'elle ne soit retrouvée au village bien qu'on sache pertinemment qu'elle se souvient de cette page du court roman de sa triste petite vie.

"Monsieur. Il vient d'arriver une petite fille bien intrigante à l'Orphelinat et je dois vous avouer qu'elle agite ma curiosité. Et pour cause ! J'ai beau lui poser question sur question, elle reste mystérieuse et ce j'en ai l'impression en toute conscience... Je me demande si il ne faudrait pas tenter l'hypnose mais je crains qu'elle n'en parle pas pour essayer de mieux oublier, si c'est le cas, remuer tout cela pourrait être dangereux... Jamais mes études de pédopsychologie ne m'avaient préparé à rencontrer une telle âme torturée, elle refuse sciemment de parler de certaines choses et si elle s'est lié d'amitié avec une surveillante elle refuse de lui dire certaines chose de mon avis purement professionnel. Pour vous donner une idée de cette demoiselle, le peu que je sait de son histoire d'avant que l'on ne la trouve se résume en une phrase : Elle a grandit chez son père (ce qui me pose les plus grands sujets d'inquiétude) et un jour, il l'a emmené devant l'orphelinat avant de la déposer et de redémarrer la voiture. Je ne sais rien d'autre. C'est vous dire ! Outre cela, son comportement n'est pas le même qu'une autre, elle est plus agressive, plus sur la défensive, sadique aussi. Ce genre de choses qui traduisent un fort déséquilibre éducatif. J'espère bientôt pouvoir vous en dire plus ou avoir votre réponse. Avec toute mon affection et mon amitié, Martin D."

Un après-midi du mois d'août, une voiture s'arrêta devant l'Orphelinat, une petite fille aux cheveux roux en descendit, on lui avait dit qu'elle allait voir sa grand mère, elle était donc contente mais à peine eut elle posé un pied sur le sol que la voiture démarra en trombe et disparut, le premier réflexe de la petite fille alors âgée de quatre ans avait été d'essayer de rattraper le véhicule et elle avait finalement atterrit au village où on la retrouva. Aussitôt l'Orphelinat prit son éducation en main. Elle ne su jamais que leur dire son premier prénom : Chloé-Valentine et son deuxième : Constance.
Les début de la petite fille furent difficile, associable et violente, la petite inspire la crainte. Finalement, grâce à la patience de l'équipe pédagogique, elle finit par s'ouvrir un peu aux autres mais refuse pourtant toujours de raconter son histoire.
Avec le temps, elle s'est habituée à ce nouvel environnement et désormais, elle s'y sent chez elle même si elle aimerait bien parfois avoir des parents même adoptifs. Mais pour cela, il faudrait qu'elle apprenne à faire grande impression et avec un cota de 17 tentatives de fugue en moins de 3 ans, il faut dire que ce n'est pas évident...
Aujourd'hui, alors que son 14ème anniversaire approche elle est parfaitement intégrée dans le cadre de l'Orphelinat et commence à pouvoir donner quelques petits coups de main qu'elle ne refuse jamais de donner en échange de rien souvent. Elle donne notamment des cours de math, de physique-chimie, de langue et même un peu de musique parfois.

Une journée à l'Orphelinat :

« Debout les filles ! » Dans le genre mauvais réveil, vous savez ces réveils difficiles qui font que l’on rêve de pouvoir rester sous la tête et enfonçant notre petit museau dans l’oreille pour oublier que le jour se lève, ces réveils qui font qu’on se dit que la journée commence mal et bien celui-ci battait un nouveau record. Chloé-Valentine-Valentine ne regarda même pas la surveillante, elle n’ouvrit même pas un œil, elle se contenta de grogner faiblement la voix encore enrouée de sommeil en se retournant sous sa couette. C’était comme ça depuis dix ans, la jeune fille n’arrivait pas à se lever de si bonne heure et tous les matins quand la voix de la surveillante résonnait dans le dortoir et que toutes les filles qui l’occupaient se lever pour aller faire la queue à la douche, on pouvait entendre ce faible grognement et la rouquine se retourner pour mieux se rendormir. On pourrait penser qu’avec les années elle s’y serait fait mais non, c’était toujours la même chose. On pourrait penser que les surveillants lassés de ce caprice matinal lui prenait sa couette tous les matins mais non. Tous les matins, la surveillante chargée du réveil du dortoir des filles venait lui secouer l’épaule. Quand elle était petite, elle cherchait un surveillant qui la portait hors de son duvet pour ne pas la bousculer pensant que le choc de l’abandon et le chagrin de la solitude la clouait au lit mais elle n’avait plus l’âge d’être portée jusqu’au réfectoire. Donc la surveillante lui secouait doucement l’épaule en l’appelant d’une voix douce : « Chloé-Valentine, c’est l’heure… Allez, lèves toi. » Parfois la phrase était accompagnée d’un aimable « s’il te plait » cela dépendait de laquelle des surveillantes était chargée du lever. Quoi qu’il en soit le résultat était le même, la jeune fille faisait la sourde oreille. Tant et si bien qu’il fallait la secouer encore un peu, parfois une main douce venait écarter une mèche rousse protégeant ses yeux de la lumière du jour. Alors, la jeune fille ouvrait un œil entre bleu et vert, parfois plus vert que bleu parfois plus bleu que vert et regardait autour d’elle espérant secrètement que la surveillante s’éloigne pour pouvoir se rendormir mais comme toujours, elle restait là donc le deuxième œil s’ouvrait de la même couleur que le premier et elle s’étirait, tendant ses bras au-dessus de sa tête en tirant ses muscle fins en se cabrant dans les draps qu’elle regrettait déjà. C’était à ce moment-là parfois que la surveillante l’encourageait d’un « Allez miss » mais que cela soit dit ou non, elle se levait, du moins s’asseyait sur le bord de son lit et clignant des paupière pour habituer sa vue à la lumière du jour filtrant entre les rideaux espérant toujours par miracle que le soleil fasse marche arrière dans le ciel et retourne se coucher pour qu’elle puisse l’imiter autant vous dire donc qu’une quelconque éclipse solaire était la plus mal venu pour la surveillante qui était déjà parvenue à ce stade. Souvent, elle lui tendait une main pour qu’elle se lève, cette main était un des rares repères de Chloé-Valentine alors qu’elle sortait du sommeil le plus profond qui soit. Elle s’emparait donc de cette main ou la cherchait ce qui faisait qu’on finissait toujours par la lui tendre et alors seulement obtempérer et se levait. Dur cérémonie que celle du lever de Chloé-Valentine, une étape manquante et vous ne la lèverait pas avant midi, 11h00 si vous avez de la chance. Toutefois, une fois levée, Chloé-Valentine ne se recouchera jamais. Elle est debout. Alors la surveillante pour repartir à ses autres occupations. La jeune rouquine elle va en ligne droite au réfectoire, chemin qu’elle connait parfaitement sur le bout des doigts et heureusement d’ailleurs. Oui, alors que les autres filles font la queue devant le miroir pour remettre leurs cheveux en place la jeune fille entre dans le réfectoire les cheveux un peu n’importe comment, elle porte son éternel pyjama vert à rayures vertes trop grand pour elle et qu’on lui a du coup bidouillé pour permettre au pantalon de tenir à sa taille creuse. Ses paupières sont encore à moitié closes quand elle s’assoie à sa place, troisième place en partant de la gauche de la quatrième table. Elle ne se pose même plus de question, elle est là depuis qu’elle est arrivée à l’Orphelinat. Du fait qu’elle ne perde pas son temps dans la salle d’eau, elle est presque seule dans le réfectoire, elle regarde un moment son assiette puis relève les yeux vers le cuisinier et lui offre le premier sourire de la journée. Avant ce premier sourire était pour Daphné, SA Daphné mais maintenant que Daphné est morte et bien ce sourire revient au cuisinier, un peu à la façon d’un héritage je vous l’accorde. Dans ce sourire, elle dévoile ses petites dents blanches parfaitement alignées. Ensuite, elle attrape deux toast et de la gelée de pomme. Elle raffole de la gelée de pomme, avec ça vous obtiendrez ce que vous voulez d’elle, c’est pire qu’un morceau de fromage dans un piège à sourire si vous voulez mon avis. Par soucis pour sa santé, on lui a toujours imposé de boire au moins un verre de lait par repas afin de contrôler sa carence en calcium aussi, son verre de lait froid avalé, elle quitte le réfectoire qui commence à e remplir et va se préparer en toute tranquillité. La matinée passera sans encombre, elle ira à la récréation se réfugier à l’entrée de l’Orphelinat comme si elle attendait que revienne la voiture de son père mais ce n’est pas le cas, c’est même plutôt l’inverse, c’est pour s’assurer qu’elle ne soit pas revenue. Quand les cours reprendront, elle les suivra avec attention comme elle a toujours fait et finira par retourner au réfectoire pour le déjeuner. Son assiette devant elle, elle regarde le steak-haché et les frites un instant avant d’attraper sa fourchette pour manger, elle regarda autour d’elle, tous les autres aussi étaient là, son voisin était un nouveau, il la regardait aussi, elle devait avoir deux ans de plus que lui et sentait sur sa peau son regard, on aurait dit qu’il allait la manger et être considérée comme le prochain repas de son voisin alors qu’un a un morceau de viande saignant dans son assiette, je peux vous le dire, ça n’a rien d’agréable. Finalement, elle tourne la tête et le regarde fixement jusqu’à ce qu’il détourne le regard et recommence à manger. Quand elle eut fini assiette et verre de lait, elle se leva pour sortir quand derrière elle un bruit de chaise qui tombe résonna. Elle fronça imperceptiblement les sourcils en se retournant et quelle ne fut pas sa surprise en voyant le garçon frapper celui qui avait aussi été son voisin un peu plus tôt. Les surveillants accoururent et séparèrent les deux garçons, elle laissa son sac à bandoulière tomber sur le sol et s’approcha pour aider, violente de nature, elle savait que ce genre de chose ne se réglait pas avec la douceur comme certains pouvaient le penser. Elle se jeta à la façon d’un chat sur le nouveau et après un rouler-bouler sur le sol atterrît sur lui, lui bloquant les poignets contre le carrelage et l’immobilisant. Elle était plus grande que lui, plus âgée, avait donc plus d’expérience et elle savait se battre, elle le lui fit vite comprendre en lui tordant le poignet gauche. « Chloé-Valentine, ça suffit, je crois qu’il a compris. » Aussitôt, comme un chien que l’on rappelle à l’ordre, elle se releva et s’approcha de son autre camarade qui se tenait sur un coude, lui proposa ça main en lui demandant comment il allait. Il la rassura et la remercia en se relevant et aussitôt comme si rien ne s’était passé, elle ramassa son sac, la pause déjeuner était terminée. En quittant le réfectoire, la jeune rousse se dirigea immédiatement vers le parc, elle était déjà en retard pour les activités du mercredi après-midi et cela la faisait rager, qu’elle ne croise pas l’avortons qui l’avait retardé avant le lendemain ou qu’aucun mur ne se trouve à proximité parce qu’il finirait dedans. Chloé-Valentine détestait arriver en retard. Heureusement, elle avait été attendue et de ce fait partit avec les autres enfants de son âge pour la promenade. Une fois dans la forêt, tout était permis, tout ou presque. Il restait strictement interdit de s’éloigner. Règle qu’y avait été mis en place par sa faute puisqu’elle avait profité nombre de fois de la promenade pour tenter de se sauver… La fugue était un art qu’elle ne maîtrisait toutefois pas assez puisque l’orphelinat était son responsable légal jusqu’à sa majorité, elle y était toujours ramener par les flics… L’après-midi fut paisible, tranquille et l’air frai lui fit du bien, elle put se dépenser tant et si bien que quand le ciel commença à se teinter de rose, elle ne tenait plus qu’à peine sur ses jambes.Le repas se passa en silence pour la jeune fille, elle retrouva ensuite une ou deux amies au foyer avant de gagner sa couette si laborieusement quitté le matin même. Après bien des questions et des peurs contrôlées et ravalées, elle trouva le sommeil…

-> VOUS <-

Fréquence de connexion : ~ 7j / 7 principalement de nuit
Quel est le code : Code Ok By Sun

Demande d'avis, merci :

[Sun Égée]

Tout d'abord, Bienvenue! ^^
Ensuite, je ne vois pas vraiment de problème. Donc, je crois que tu es validée! Si quelqu'un voit des problèmes, on t'en feras part en Mp. Voilà. Amuse-toi!
Finalement pour la demande d'avis, je dois avouer que j'adore la première, mais surtout la deuxième image. Alors, voilà tu as mon opinion. ^^